Nicolas Hulot : L’écologie en hélicoptère
L’hypocrite
Nicolas Hulot, c’est l’histoire d’un aventurier des beaux discours, un écologiste de salon qui a passé sa vie à donner des leçons sans jamais se les appliquer. Grand défenseur de la nature… en hélicoptère ; militant de l’écologie… sponsorisé par les géants du pétrole ; homme politique… qui déteste les politiciens. Un paradoxe ambulant.
Vedette de télé
D’abord star de télévision avec Ushuaïa, émission dans laquelle il nous vendait son amour de la planète en multipliant les déplacements en avions et en bateaux à moteur, il a ensuite construit une marque autour de son image. Son combat ? Une écologie aussi consensuelle que lucrative. Ushuaïa est devenue une gamme de shampoings et de gels douche aux senteurs exotiques, vendue en grande surface. L’écologie, oui… mais dans un flacon en plastique.
La mission de Nicolas Hulot : séduire les politiciens
Nicolas Hulot, c’est aussi une tentation politique chronique. Courtisé par tous les Présidents, il a longtemps joué la diva, refusant d’entrer en politique tant qu’on ne lui déroulait pas un tapis vert bien moelleux. Quand il finit par accepter le poste de ministre de l’Écologie sous Macron, il réalise rapidement que gouverner, ce n’est pas simplement aligner de grandes phrases sur le climat. Il claque la porte en direct à la radio, lâchant son ministère comme un ado démissionne de son job d’été.
Disparition des ondes
Mais c’est aussi une chute brutale. Nicolas est rattrapé par des accusations de harcèlement et d’agressions sexuelles. Autrefois intouchable, il disparaît soudainement du paysage médiatique, évitant soigneusement d’avoir à répondre aux témoignages accablants. Lui qui adorait faire la morale aux autres devient silencieux comme une forêt.
Une imposture nommée Nicolas Hulot
Au final, Nicolas Hulot, c’est une imposture écologique en or massif : un homme qui a construit son image sur la défense de la planète, tout en profitant des bienfaits du capitalisme et des sponsors industriels. Un moralisateur qui s’est toujours bien gardé d’appliquer à lui-même les contraintes qu’il rêvait d’imposer aux autres. Et comme tous les illusionnistes, une fois le rideau tombé, il ne reste plus que la fumée… et la douce odeur des shampooings parfumés.
Ceci est un exercice de style. Une création purement littéraire.
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