Bertrand Delanoë : Le parrain de la catastrophe
Il a créé Anne Hidalgo
Bertrand Delanoë, c’est l’homme qui a donné à Paris une nouvelle image… avant de la livrer en pâture à Anne Hidalgo, son héritage le plus funeste. Maire de la capitale pendant treize ans, il a été le grand rénovateur, l’initiateur des berges piétonnes, des Vélib’, et du Paris festif. Mais il restera aussi celui qui a préparé le terrain pour le plus grand désastre municipal de l’histoire récente.
Bertrand Delanoë et l’amour de la dette publique
Visionnaire ou naïf ? Delanoë, c’est celui qui a ouvert les vannes de l’endettement en lançant des projets d’envergure sans trop se soucier des lendemains. Il voulait une ville moderne, il a laissé un chantier permanent. Hidalgo n’a fait qu’amplifier ce qu’il avait commencé : une capitale en travaux perpétuels, une dette abyssale, une bureaucratie hypertrophiée. L’élève a surpassé le maître… dans le pire.
Le précurseur des chantiers interminables
À son époque, Delanoë savait au moins gérer son image. Il jouait les modérés, posait en réformiste éclairé, et séduisait la bourgeoisie parisienne avec son progressisme bien tempéré. Son coming-out a été salué comme un acte de courage, renforçant son image de maire moderne et ouvert. Mais derrière ce vernis de modernité, la machine municipale s’embourbait déjà. L’inflation des dépenses, l’explosion du nombre de fonctionnaires, les chantiers sans fin… tout était en place.
Spectateur de l’effondrement

Aujourd’hui, Delanoë est rangé des voitures, spectateur de l’œuvre qu’il a lui-même initiée. Il voulait moderniser Paris, il a pavé la voie pour sa descente aux enfers. Son nom restera dans l’histoire pour ses idées progressistes… et pour avoir passé le relais à celle qui allait achever de ruiner la capitale. Un héritage bien lourd à porter, même pour un socialiste.
Ceci est un exercice de style. Une création purement littéraire.
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