La Contre-histoire de l’humanité

Tout le monde connaît la grande Histoire de l’humanité. L’invention de l’écriture, la découverte de la roue, les cathédrales gothiques, l’horloge mécanique… Autant d’étapes glorieuses racontées dans les manuels scolaires avec gravité et admiration.

Ici, vous ne trouverez rien de tout ça.

Bienvenue dans la contre-histoire de l’humanité ! C’est une chronique où chaque « grande invention » est ramenée à ce qu’elle a souvent été : un mélange de bricolage pratique, de petites vanités humaines et de grands malentendus collectifs.

Là où l’Histoire officielle voit des progrès fabuleux, la contre-histoire voit des paysans fatigués qui creusent des canaux pour ne pas mourir de soif, des scribes épuisés qui inventent l’écriture pour mieux comptabiliser les impôts, ou encore des moines qui passent des nuits blanches à recopier des textes qu’ils ne comprennent pas toujours.

Bref : un regard ironique et lucide sur nos illusions de grandeur, raconté avec humour noir, un peu de mauvaise foi, et beaucoup de plaisir.

Parce que derrière chaque merveille il y a surtout une humanité qui tâtonne, se trompe, recommence. A la fin, on appelle ça le « progrès ».

Contre-histoire de l'humanité : la Préhistoire
Contre-histoire de l’humanité : la Préhistoire

On croit souvent que la Préhistoire, c’est l’âge des cavernes et des cris gutturaux. Mais c’est surtout le moment où l’humanité a eu ses premières grandes idées. Le feu, l’agriculture, la roue, pour ne citer que les plus connues.

Derrière ces « révolutions », il y a surtout des sceptiques qui râlent, des voisins qui se moquent, et des inventeurs convaincus que leur trouvaille allait « changer la vie ».

La contre-histoire vous invite à revisiter ces débuts balbutiants avec un œil moqueur : car si nos ancêtres avaient su ce que ça allait donner, ils seraient peut-être restés bien tranquilles autour du feu.


Contre-histoire de l'humanité : la Préhistoire
Contre-histoire de l’humanité : l’Antiquité

L’Antiquité, c’est l’âge d’or des pyramides, des dieux capricieux, des lois gravées dans la pierre et des premiers fonctionnaires à plumes. On y célèbre l’écriture, l’architecture monumentale, l’astrologie ou encore les grands calculs mathématiques. Mais la contre-histoire préfère gratter le vernis.

Derrière les temples et les calendriers solennels, on retrouve surtout des bouts de ficelle, beaucoup de sueur, et des illusions de grandeur qui ont vite tourné à la corvée. L’Antiquité vue autrement, c’est un théâtre d’expériences humaines où le ridicule n’a jamais été très loin du sacré.


Revenir à l’accueil.